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RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS

réunion

OLD’UP porte la voix des vieux et a son mot à dire sur les politiques menées en direction des personnes âgées, au niveau local, national ou international.

La parole de OLD’UP est écoutée et très souvent sollicitée. De fait, OLD’UP est représenté dans de nombreuses instances publiques ou privées, qui sont des lieux-clés où faire passer des messages et défendre des propositions.

Ce travail de veille institutionnelle nous semble fondamental si l’on veut changer le regard de la société sur les personnes âgées.

Par ailleurs, OLD'UP s'attache à informer ses membres des actions menées par diverses institutions qui ont pour mission d'informer et aider les séniors.

OLD'UP intervient ou est représenté au sein de diverses organisations politiques et administratives : mairies, Défenseur des droits, le Gérond'IF, plusieurs gérontopôles... L'association participe également à plusieurs comités de réflexion, fondations, publications scientifiques, groupements professionnels : Villes amies des aînés, association Poursuivre, Age Platform, MEF (Mouvement européen France), France Asso Santé, Silver Valley...

 

OLD'UP RENFORCE SES LIENS AVEC LES MAIRIES D'ARRONDISSEMENTS

OLD'UP s'efforce d'être représenté aussi souvent que possible sur les forums associatifs et lors de manifestations locales, pour présenter le travail de l'association et rencontrer les personnes intéressées. OLD'UP participe par exemple aux forums des associations des arrondissements. ces forums se tiennent traditionnellement début septembre.


OLD'UP PARTENAIRE DE LA SILVER VALLEY

En 2024, comme les années précédentes, OLD'UP participe à divers ateliers ou conférences de la Silver Valley.
 
La Silver Valley est un écosystème d’innovation en action qui fédère 300 acteurs franciliens de la Silver Économie. La Silver Économie est une filière multisectorielle formalisée en 2013 et qui emploie aujourd’hui plus de 100 000 salariés et prévoit une forte croissance jusqu’à 300 000 salariés en 2030.  Elle rassemble l’ensemble des acteurs producteurs de biens et de services qui répondent aux besoins et aux usages des Seniors et leur entourage. 
 
L’« Open Lab » est un atelier de découverte et de réflexion visant à identifier des besoins prioritaires pour les seniors et/ou leurs proches et à donner un retour critique sur des solutions innovantes existantes ou en cours de réflexion. Les séances de « Concept Crash » sont des temps de pitch et d’échanges entre les concepteurs d’un service ou d’un produit et les représentants d’usagers seniors. Après une présentation par les porteurs de projets vous pourrez discuter avec eux de leur intérêt, enrichir les fonctionnalités, participer à l’évaluation de ces projets.

Pour tout savoir sur les activités de la Silver Valley, n'hésitez pas à visiter le site https://silvervalley.fr/

Si vous souhaitez participer à une ou plusieurs des activités proposées par Silver Valley, contactez Marion Canard, responsable actions événementielles Silver Valley : marion.canard@silvervalley.fr


OLD'UP A LA CONFERENCE INTERMINISTERIELLE "BIEN VIEILLIR"

Le vendredi 17 novembre 2023 était un jour important pour les personnes âgées en France et la prise en compte de leurs besoins et désirs. Avait lieu ce jour-là la conférence interministérielle « bien vieillir » présentée par la ministre des Solidarités et des Familles Aurore Bergé, en présence de plusieurs ministres et de très nombreux professionnels du secteur. Marie-Françoise Fuchs, fondatrice et présidente d’honneur de OLD’UP a pris la parole à cette occasion.


OLD'UP S'ENGAGE CONTRE LA MALTRAITANCE DES PERSONNES AGEES

Le 15 juin 2023, a eu lieu la Journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées, maltraitance qui, selon l'OMS, touche une personne âgée de plus de 60 ans sur six dans le monde.
Cette journée coïncidait en France avec la fin des Etats généraux des maltraitances, auxquels a participé OLD'UP, sous la houlette de Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités.
Martine Gruère, vice-présidente de OLD'UP, témoignait lors de cette journée. Son intervention, "Le vieux est une personne", est à retrouver ici.
 

CNR : DES SUJETS ESSENTIELS

Lancé par Emmanuel Macron en 2022, le CNR (Conseil National de la Refondation) a pour objectif d’« associer l’ensemble de la Société à la construction de la décision publique ». Cinq axes ont été fixés dont le « bien vieillir », pris en charge par le Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, Jean-Christophe Combe. Trois thèmes relatifs au « Bien vieillir » ont été retenus :
- Métiers du grand âge (groupe de travail coordonné par Dafna Mouchenik et Myriam El Khomri)
- Citoyenneté et lien social (groupe de travail coordonné par Martine Gruère, vice-présidente de OLDUP, et le Délégué général des Petits frères des pauvres, Yann Lasnier)
- Adapter la Ville (groupe de travail coordonné par Luc Broussy)
 
Lire ci-dessous un article signé Béatrice Jérôme et paru dans le journal Le Monde (12/10/2022). A lire également l'article de Noël Bouttier paru dans Le Média Social.
CNR "bien vieillir" : des espoirs et des doutes

CNR « bien vieillir » : des espoirs et des doutes

Face à l’urgence, les acteurs du secteur du grand âge ont accepté de participer aux débats

Béatrice Jérôme

Bien vieillir, c’est rester debout » : l’ancien commissaire au plan, Jean-Baptiste de Foucauld, 79 ans, a fait rire la salle, mardi 11 octobre. Pas une chaise n’avait été prévue pour les quelque 200 personnes conviées au ministère pour le lancement du Conseil national de la refondation (CNR) consacré au « bien vieillir »L’auditoire a également souri en entendant Jean-Christophe Combe : « On épuise l’intelligence collective à poser inlassablement les mêmes constats sans passer aux solutions, a observé le ministre des solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées. Depuis 2018, 18 rapports et 372 propositions ont été produits sur le sujet. » « L’heure n’est plus aux constats, mais à la mise en œuvre des solutions. Des propositions opérationnelles, le gouvernement en mettra sur la table », a-t-il promis. Sous les regards incrédules d’une partie du public.

Après l’annonce fin août par le gouvernement de la tenue d’un CNR sur le « bien vieillir », pas un professionnel du secteur ne considérait qu’un nouveau grand débat de ce type soit une nécessité. « A quoi bon ce nouveau machin tombé de Jupiter ? demandait Jérôme Guedj, député PS de l’Essonne et spécialiste de ces dossiers, pour qui ce CNR a tout l’air d’« une manœuvre dilatoire ». Sans compter les Cassandres pour lesquels ce qui va sortir du CNR « est connu d’avance puisque toutes les questions ont été vues et arbitrées ». « La concertation de 2018 a débouché sur le rapport de Dominique Libault, remis en mars 2019, qui fait référence, observe un expert. Le ministre aurait pu dégainer une feuille de route “grand âge” dès l’automne avec une stratégie pour les cinq ans qui viennent. »

M. Combe, qui rendra les conclusions du CNR en mai 2023, pense tout l’inverse. Il explique qu’il s’est « battu pour que le “bien vieillir” soit dans le CNR ». A l’Elysée, on assure, au contraire, que la transition démographique était dès le départ parmi les thèmes retenus du CNR arrêtés par M. Macron. « La méthode qui consiste à faire que les acteurs et les gens sur le terrain s’approprient les mesures est plus puissante qu’un plan, voire qu’une loi petite ou grande imposée d’en haut », explique le ministre.

De fait, malgré leur conviction que le gouvernement « cherche à procrastiner » sur le sujet, les acteurs n’ont d’autre choix que de se prêter au jeu du grand débat. Le CNR leur apparaît comme la dernière chance de mettre le thème du vieillissement à l’agenda du chef de l’Etat. « C’est le dernier coup de bourre pour rendre nos propositions opérationnelles », estime Myriam El Khomri. Autrice d’un rapport sur l’attractivité des métiers du grand âge remis en octobre 2019 au gouvernement, l’ancienne ministre du travail de François Hollande a accepté de copiloter l’un des trois chantiers du CNR. Celui consacré à la « revalorisation des métiers ». Elle coanimera des ateliers dans trois départements avec Dafna Mouchenik, directrice d’un service d’aide à domicile. Ils porteront sur les conditions de travail des aides à domicile, sur les formations aux métiers du grand âge et sur la réduction des accidents du travail.

Question du financement

« J’ai d’abord pensé que le CNR était un subterfuge pour remettre à plus tard les décisions. Et puis j’ai pensé que non finalement », a expliqué, mardi, Luc Broussy. Le cofondateur du think tank Matières Grises, président de la filière des entreprises de la « silver économie », a rendu en mai 2021 un rapport intitulé « Nous vieillirons ensemble ». Il coanimera le chantier du CNR consacré à « l’adaptation de la société ». « Je vais essayer », a-t-il ironisé, d’« assurer d’une certaine façon le service après-vente de mon rapport ». En retenant notamment deux chapitres, ceux sur l’adaptation des villes et des logements au vieillissement des habitants. Il en profitera pour faire la promotion de la mesure-phare dont il est l’inventeur dans son rapport, la future prime à l’adaptation des logements baptisée MaPrimAdapt’, avant qu’Emmanuel Macron ne la reprenne à son compte dans son programme présidentiel… Mardi, Olivier Klein, ministre délégué chargé de la ville et du logement, a annoncé que MaPrimAdapt’« sera créée le 1er janvier 2024 ».

Le troisième chantier du CNR sera consacré à « la citoyenneté et au lien social ». Le ministère a fait appel à Yann Lasnier, délégué général des Petits Frères des pauvres, et à Martine Gruère, vice-présidente d’Old’Up, une association qui regroupe « des seniors qui essayent de réfléchir ». Parmi les mesures qui seront débattues dans les ateliers dédiés à ce thème, Mme Gruère a prévu que figure la création d’un « service civique ouvert aux seniors », la présence au sein des Ehpad de représentants des usagers ou bien encore la mise en place d’un Conseil national consultatif des personnes âgées sur le modèle de l’actuel Conseil national des personnes handicapées qui rendrait chaque année des avis qui orienteraient les politiques du gouvernement.

Même si le sujet n’est pas au menu, le CNR ne pourra pas éluder la question du financement des besoins d’accompagnement du grand âge. Le vieillissement « est un sujet absolument majeur sur lequel il faudra trouver des réponses inédites parce que les questions actuelles sont budgétairement colossales », confiait mardi François Bayrou, haut-commissaire au plan, chargé par M. Macron de présider l’ensemble des CNR (santé, écologie…). Raison de plus pour se donner un peu de temps avant de trancher les priorités, explique le cabinet de M. Combe.

 En 2024, la cinquième branche autonomie de la « Sécu » recevra 2,3 milliards d’euros supplémentaires grâce à l’attribution d’une nouvelle part de CSG. La manne ne suffira pourtant pas. « Ça ne sert à rien de vouloir financer le “bien vieillir” si on n’est pas capable d’équilibrer les retraites, a expliqué M. Combe. C’est bien les deux qu’il nous faut : les retraites équilibrées et l’accompagnement du “bien vieillir” financé ! »

L’un ne va pas sans l’autre. Si Emmanuel Macron devait participer à l’un des ateliers du CNR qui commenceront début novembre et se dérouleront dans une dizaine de départements, nul doute que ce sera le message qu’il fera passer : pas de financement du grand âge sans réforme des retraites… Il viendra « s’il a des annonces fortes à faire », glissait prudemment, mardi, l’entourage de M. Combe.

Béatrice JEROME

 

CNR "Bien vieillir" : les trois gros chantiers sont lancés

 

Article12 octobre 2022

LE MEDIA SOCIAL

 

Le ministre Jean-Christophe Combe lors de la présentation des trois chantiers du "Conseil national de la refondation" (CNR) sur le "bien vieillir", le 11 octobre - © Noël Bouttier

CNR "Bien vieillir" : les trois gros chantiers sont lancés

Ce 11 octobre, le ministre Jean-Christophe Combe a présenté les détails de la réflexion conduite sur le "bien vieillir" dans le cadre du Conseil national de la refondation (CNR). Trois groupes de travail seront coanimés par des personnalités, et leurs conclusions devraient se retrouver dans la feuille de route présentée en mai 2023.

Depuis le début, le chantier du « Bien vieillir » proposé dans le cadre du Conseil national de la refondation est plombé par une annonce : l'abandon de la loi sur le grand âge, promesse du précédent quinquennat. Pour le lancement officiel de ce chantier, le 11 octobre, le ministre des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées, Jean-Christophe Combe, devait déminer le terrain en montrant que l'ambition politique est forte et non au rabais, comme le craignent diverses organisations professionnelles.

« L'anti-twitter » 

Devant la centaine de personnalités du secteur réunies avenue Duquesne (siège du ministère), l'ancien patron de la Croix-Rouge a plaidé pour une approche réflexive, détachée des urgences du moment. « Le CNR c’est l’anti-twitter, c’est la nuance, c’est le long terme, c’est la recherche de consensus d’intérêt général sur des sujets qui doivent embarquer la société dans son ensemble », a-t-il insisté. Il a également mis l'accent sur la dimension sociétale du débat sur le vieillissement, une manière de dire que la parole ne doit pas être accaparée par les professionnels.

1,5 milliard en plus

Pour autant, pas question d'abandonner le court terme. Le prochain PLFSS, a rappelé le ministre, prévoit « 1,5 milliard [supplémentaire] sur l’autonomie, contre l’inflation, pour les recrutements, la transformation des Ehpad et la création des nouveaux services autonomie à domicile », en estimant qu'aucun gouvernement n'avait fait autant que ceux du président Macron.

Deux dynamiques parallèles

Dans l'esprit de Jean-Christophe Combe, les rôles sont clairement définis : « L’action du gouvernement se poursuit sur le court terme pendant que le CNR prépare le long terme. » Quelle méthode pour aboutir à la fameuse feuille de route de mai 2023 ? Deux dynamiques doivent se combiner : d'une part, trois groupes de travail vont, de façon autonome, élaborer des propositions ; d'autre part, le ministère va organiser dix rencontres territoriales (Nord, Marne, Outre-Mer, etc.) pour repérer les bonnes pratiques et les freins au changement. 

« Ceux qui savent sont ceux qui font » 

« Adapter la société, promouvoir la citoyenneté et le lien social et enfin revaloriser les métiers » : ces trois groupes de travail vont être coanimés par des duos chargés de faire advenir des propositions. Un séminaire de restitution sera organisé pour chacune des thématiques en avril, juste avant la publication de la feuille de route. Expliquant que « ceux qui savent sont ceux qui font », le ministre a insisté sur l'importance de leur prise de parole : « Ce n’est pas seulement une question de respect, c’est une question d’efficacité », a-t-il martelé, sans expliquer quels moyens seront utilisés pour faire participer les « faisant ».

Prime Adapt' en 2024

Le chantier numéro 1 « Adapter la société » va être coanimé par Luc Broussy, auteur du rapport sur l'adaptation des logements, et l'élue locale (adjointe au maire du Havre et vice-présidente de la Seine-Maritime) Florence Thibaudeau-Rainot. Le premier qui n'a pas caché son scepticisme initial sur le CNR a rappelé que les chutes au domicile sont responsables de 9 000 morts annuelles. Luc Broussy s'est, par ailleurs, félicité de l'annonce par le ministre du Logement, Olivier Klein, de la mise en œuvre dès 2024 de « MaPrimeAdapt' », proposition phare de son rapport de 2021. 

« Le vieux est une personne » 

La question de la citoyenneté et la lutte contre l'âgisme seront au cœur du second chantier, coanimé par Martine Gruère, vice-présidente de l'association Old'Up, et Yann Lasnier, délégué général des Petits frères des Pauvres. La première a cité diverses propositions qu'elle aimerait pousser, comme un service civique pour les vieux. Et d'ajouter : « Je rêve que, sur le modèle des bébés dans les années 80, la télé propose une émission sur le thème 'Le vieux est une personne' »

Participation des âgés

Le représentant des Petits frères des Pauvres a insisté sur l'éducation à la lutte contre l'âgisme au cours du parcours scolaire, mais aussi dans les entreprises. Il a également plaidé pour des instances participatives pour les personnes âgées. En rapport avec la consultation citoyenne sur la fin de vie, Yann Lasnier a prévenu : « Avant de parler du 'bien mourir', il faudrait parler du 'bien vieillir' ».

Lettre au Père Noël  

Quant au troisième chantier, sur les métiers, il sera piloté par l'ancienne ministre Myriam El Khomri, auteure du rapport éponyme, et par la dirigeante professionnelle Dafna Mouchenik. La première a insisté pour que le travail soit réalisé en interministériel. Quant à l'ancienne présidente de Synerpa domicile, elle a, devant le ministre, égrené les demandes du secteur de l'aide à domicile (« je fais ma lettre au Père Noël », a-t-elle badiné). Et insisté pour que « quelque chose sorte » de toutes ces discussions. D'ailleurs, trois sous-groupes sont prévus pour ce vaste chantier : les AVS, la formation (VAE, alternance) et la qualité de vie au travail.

Le concret et les valeurs

Au préalable, le « vieux » Jean-Baptiste de Foucauld, ancien commissaire au Plan, avait rappelé que « la recherche du concret ne doit pas empêcher de s'intéresser aux valeurs. » Et d'en citer quatre : « la créativité, la justice, la fraternité et la sobriété ». Ce quasi-octogénaire avait ajouté : « Bien vieillir, c'est regarder le sens de sa vie. Et il faut qu'il y ait des lieux où le sens de la vie peut être débattu. » Des réflexions utiles pour enrichir un débat trop souvent technique.     

Noël BOUTTIER

 

UNE PROPOSITION DE LOI CONTRE L'ÂGISME

Le 2 mars 2021, une députée de la majorité a déposé une proposition de loi contre l'âgisme, le rejet des personnes âgées qui a pu être accentué pendant la crise sanitaire. OLD'UP a été consulté et cité dans cette proposition de loi.

 
 
Définitions, abréviations, terminologies administratives : mieux s'y retrouver

OLD'UP s'informe et informe sur les institutions.... par exemple ...

Qu'est-ce qu'un CLIC ? Cette appellation désigne un Centre Local d’Information et de Coordination gérontologique, c’est-à-dire un lieu-ressources pour les personnes âgées, leur famille ou leur entourage.

Informer, conseiller, orienter, accompagner, telles sont les missions des CLIC.

A Paris, les 6 CLIC Paris Emeraude sont des services de proximité qui apportent une réponse globale et adaptée aux besoins de chaque situation grâce à une collaboration étroite entre les professionnels du secteur social, médico-social et sanitaire. Un accompagnement personnalisé permet d’aider les personnes à définir leurs besoins, répondre à leurs demandes et préoccupations et rechercher les solutions adaptées.  

Pour plus d’informations, contacter le CLIC Paris Emeraude de votre arrondissement sur Paris.fr

Les Maisons Des Associations (MDA) accueillent les associations et mettent à disposition leur salle pour un accueil du public. 

Les maisons de santé pluri professionnelles, MSPP

La diminution du nombre de médecins, en particulier de spécialistes de médecine générale, sur les territoires est une réalité qui s’accentue rapidement avec la pyramide des âges des médecins, largement représentée par des professionnels de plus de 55 ans suivi d’une diminution des effectifs sous l’effet des faibles numerus clausus. Cette évolution doit se poursuivre encore pendant 5 à 10 ans, avec de fortes disparités en fonction de l’attractivité des territoires, intéressant y compris certains quartiers au sein des villes. Dans le même temps une réduction capacitaire et  l’augmentation des soins ambulatoires, sont des priorités pour les établissements de santé.

Les maisons de santé pluri-professionnelles, réunissent le plus souvent des médecins dans un exercice partagés, et des professionnels paramédicaux. Au-delà de telles maisons favorisent la collaboration et la coordination des soins entre les professionnels, si un projet territorial de santé a prévalu à leur création.

Les SSR Service de Suite et Réadaptation 

Les SSR sont les "Services de  suite et réadaptation » Il s’agit des nombreux établissements publics ou privés qui accueillent les personnes « suite » à une période de crise traitée par des soins à l’ hôpital puis « relâchés » très vite .

Les SSR permettent une économie financière au regard d’une hospitalisation plus longue et pas toujours nécessaire. Des séjours sont de plus en plus souvent proposés du fait de la diminution des durées moyennes de séjour en médecine et en chirurgie. Ceci en gardant pour mission : prévenir ou  réduire les conséquences fonctionnelles, physiques, cognitives, psychologiques ou sociales des déficiences et des limitations de capacité des patients et de promouvoir leur réadaptation et leur réinsertion.

Dans ces lieux il y a toujours un projet Kiné et hôtellerie, sous surveillance médicale. Une structure autorisée en SSR assure les missions suivantes : des soins médicaux, curatifs et palliatifs ; de la rééducation et réadaptation ; des actions de prévention et d’éducation thérapeutique ; la préparation et l’accompagnement à la réinsertion familiale, sociale, scolaire ou professionnelle.

Beaucoup membres de OLD’UP ont séjournés dans ces établissements, autrefois plus souvent appelés « rééducation fonctionnelle, ou convalescence »….  

Le Gérond'iF : gérontopôle d'Île-de-France

OLD’UP rend compte très régulièrement au cours de ses réunions des avancées des travaux du Gérond’iF qui de son côté soutient les travaux de OLD’UP.  

Le Gérond'iF est un gérontopôle d’Ile-de-France. Toutes les régions n'en disposent pas encore, même si de nouveaux projets sont en  train de germer.
Les gérontopôles sont plus ou moins actifs. L’assemblée constitutive et le premier conseil d’administration de Gérond’if se sont tenus le mardi 5 juillet 2016.

Le dr Marie-Françoise Fuchs, présidente d’honneur et fondatrice de OLD’UP et le Pr Philippe gutton, président de OLD’UP ont été nommés depuis au Conseil d’administration du Gérond'iF.

Tous deux sont actifs dans la cellule de recherche sur l’Ethique…

Fondé par l’AP-HP, la FHF, la FEHAP, l’URIOPSS et la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, Gérond’if vise à fédérer les acteurs intervenant dans les champs de la gériatrie et de la gérontologie en Île-de-France, afin d’y promouvoir et dynamiser la recherche, l’innovation et la formation : accompagnement des personnes âgées, prévention des conséquences du vieillissement, maintien de l’autonomie.

Gérond’if a vocation à développer l’ensemble des compétences existantes en Ile-de-France dans les domaines de la gériatrie et de la gérontologie. Cette structure permettra de créer une communauté régionale de professionnels (médicaux, médico-sociaux, sociaux) intervenant dans les deux secteurs en question.

Financé à ce stade en grande partie par l’ARS Ile-de-France et les membres fondateurs, notamment l’AP-HP, ce gérontopôle régional vise à faciliter le transfert de la recherche et des progrès réalisés dans le domaine de la gérontechnologie vers le soin, le secteur médico-social, la médecine de ville et les services à domicile.

Gérond’if doit également contribuer à évaluer du point de vue médico-économique, mais aussi de celui des sciences humaines et sociales, les actions menées en matière de prévention, de soins, d’aide technique et de formation des professionnels de santé et médico-sociaux.

Des actions ont déjà été engagées, comme l’élaboration d’un passeport de compétences gériatriques, l’expérimentation de solutions ou de services gérontechnologiques, l’étude de l’impact fonctionnel d’ateliers de prévention du bien vieillir, ou encore l’évaluation du risque hémorragique chez des sujets très âgés traités par un nouvel anticoagulant oral.Gérond’if a parallèlement vocation à veiller au respect des valeurs éthiques (bienveillance, équité, dignité et autonomie du sujet âgé) dans chacun des projets menés.

Pour en savoir plus, vous pouvez visiter leur site internet : https://www.gerondif.org/

Qu'est-ce qu'une MDA?  De nombreuses réunions de OLD'UP sont organisées dans des MDA !

Le terme MDA désigne les Maisons des associations, gérées par les municipalités et qui mettent à la disposition des associations, gratuitement, des services qui facilitent leur vie quotidienne : salles de réunion, domiciliation du siège social, boîte aux lettres, bureaux de travail équipés, matériel informatique (accès internet, imprimantes) et de reprographie.

Vous pouvez consulter ce site pour obtenir la liste des MDA parisiennes. Il existe un Réseau National des Maisons des Associations (RNMA). Pour plus d'informations rendez-vous sur leur site.

Adhésion de la Ville de Paris au Réseau Francophone des Villes Amies des Ainés le 19 juin 2017

La Ville de PARIS a adhéré au Réseau Francophone des Villes Amies des Ainés, Réseau sous l'égide de l'Organisation Mondiale de la Santé. Elle en est la 500ème (*1)

Cette adhésion implique un certain nombre d'engagements en matière de santé, transports, mobilité, logement notamment.

Dans la foulée le Schéma parisien 2017-2021 "Seniors à Paris" a été présenté.(*2)

Lundi 19 juin, assistaient de OLD'UP Marie-Françoise FUCHS, Marie-Paule DEBRAY, Geneviève DOLIVET et Jean-Louis BLOCH .

Marie-Françoise est intervenue pour souligner combien il est important que les personnes de nos âges s'ouvrent au numérique et que cette ouverture est une manifestation de l'optimisme qu'elles détiennent.

(*1) http://www.who.int/ageing/events/gnafcc-500/fr/

(*2) https://www.paris.fr/actualites/le-nouveau-schema-parisien-en-direction-des-seniors-2017-2021-4857